Présidence AGPM :Daniel Peyraube réélu

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Le Conseil d’Administration de l’Association Générale des Producteurs de Maïs, réuni mercredi
8 janvier, a confirmé l’engagement de l’AGPM dans la nouvelle stratégie présentée au Congrès
du maïs de novembre dernier, par la réélection de Daniel Peyraube à sa présidence. Agriculteur
dans les Landes, Daniel Peyraube est installé depuis plus de 20 ans sur une exploitation de
130 ha avec son épouse et ses deux enfants. Producteur de maïs grain, de maïs semence et de
sorgho, il est également éleveur de blondes d’Aquitaine et de volailles.

Le nouveau bureau est pleinement mobilisé dans la transition de la maïsiculture vers davantage de
durabilité et de rentabilité. Il est composé d’un Secrétaire Général en la personne de Franck Laborde,
assisté de Jean-Marc Schwartz assumant le poste de Secrétaire Général Adjoint. Anne-Claire Vial
devient désormais Trésorière de l’AGPM.
Le nouveau bureau se compose ainsi :

Président : PEYRAUBE Daniel (40)
Secrétaire Général : LABORDE Franck (64)
Secrétaire Général Adjoint : SCHWARTZ Jean-Marc (68)
Trésorier : VIAL Anne-Claire (26)
Vice-Présidents :
SCHNEIDER Christian (67)
VINCENS Pierre (81)
FRÉTILLÈRE Éric (24)
LATASTE Jean-Paul (40)
PAGES Pierre (32)

Autres Membres du Bureau :
ARNAULD Jean-François (17)
DEFAY Dominique (72)
IMART Céline (81)
MERY Sébastien (45)
MICHEL Gilbert (50)
MOSER Marc (67)
PEES Christian (64)
RONDEAU Arnaud (89)
VANDAME Thierry (40)

Le Conseil d’Administration a ainsi revalidé un positionnement de l’AGPM résolument tourné vers l’avenir et à l’écoute permanente des évolutions techniques et sociétales, tout en reposant sur les racines de la filière.
Daniel Peyraube salue la motivation pleine et entière des administrateurs : « Nous ne sommes pas dans
un effet d’annonce, encore moins dans une opération de communication. Le travail des prochains mois
s’annonce colossal. Nous allons en particulier : définir le maïs français durable, explorer les ressorts de
la compétitivité, rechercher les sources de création de valeur. Cette durabilité de la maïsiculture, ne se
décrète pas. Elle se construit jour après jour et se nourrira de l’énergie de notre filière, de la résilience
de notre plante maïs, et aussi, des autres parties prenantes de notre société qui accepteront d’échanger
avec nous ».